Composition de l'équipe LR20 IPT02
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Responsable du programme :
Objectifs du programme : Les leishmanioses constituent un problème de santé à travers le monde et leur incidence dans ses formes cutanées augmente en Tunisie aussi bien en nombre qu’en dispersion géographique. L’objectif général de notre programme est de comprendre les mécanismes des réponses immunes développées par l’hôte au cours de l’infection par le parasite Leishmania, les mécanismes d’échappement développés par ce dernier ainsi que les interactions avec les composants du vecteur, en vue d’identifier et de caractériser les corrélats d’une protection pérenne. Le but ultime est le développement et l’évaluation de vaccins anti-leishmaniens.
Projet 1 : Identification de corrélats de protection via la conduite d’enquêtes prospectives de cohortes d’individus à risque
Chef du projet : Hechmi Louzir
Projet 2 : Etude de l’intéraction hôte-parasite par des approches transcriptomiques, protéomiques et régulomiques en vue de l’identification de nouveaux candidats vaccins et d’une meilleure compréhension de la physiopathologie de la leishmaniose expérimentale comme pré-requis d’études vaccinales.
Chef du projet : Fatma Guerfali
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Responsable du programme :
Objectifs du programme : Elucider les facteurs qui déterminent l’épidémiologie de la leishmaniose cutanée et contribuer au renforcement des outils de surveillance et des stratégies de contrôle
Projet 1 : Epidémiologie, surveillance et contrôle des leishmanioses cutanées
Chef du projet : Afif Ben Salah
Projet 2 : Modélisation mathématique des maladies infectieuses
Chef du projet : Narges Bahi-Jaber
Projet 3 : Evaluation de la dynamique temporo-spatiale de la leishmaniose cutanée par les outils des Systèmes d’informations géographiques
Chef du projet : Sadok Chlif
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Depuis sa création, l'IPT a orienté ses activités de recherche vers les maladies infectieuses d'origine virale, bactérienne et parasitologique, y compris les maladies zoonotiques et celles transmises par vecteurs. Les programmes de recherche et de formation à l'IPT sont principalement axés sur les priorités nationales en matière de santé et/ou sur des problèmes économiques, notamment la rage, l'hépatite virale, la rougeole, les infections à entérovirus, le coronavirus, les infections par le papillomavirus, les leishmanioses, l'hydatidose, la tuberculose, les mycoplasmes, la théilériose bovine et d'autres maladies transmises par les tiques, y compris la maladie de Lyme, les maladies aviaires et d'autres maladies microbiennes vétérinaires, ainsi que plus récemment les infections virales transmises par les moustiques (comme le virus du Nil occidental) et la grippe aviaire.
D'autres domaines de recherche incluent l'envenimation par scorpion et serpent, les déficiences immunitaires, les hémoglobinopathies et les maladies génétiques orphelines, ainsi que les investigations sur la susceptibilité génétique au diabète de type II et aux cancers.
Les activités de recherche de l'IPT sont organisées en dix laboratoires de recherche. Elles sont menées dans le cadre de programmes de financement spécifiques du gouvernement (Ministère de la Santé publique et Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche scientifique) et bénéficient d'un soutien financier substantiel de la part d'organismes non gouvernementaux et d'organismes internationaux, notamment l'OMS/TDR, l'OMS-EMRO/COMSTECH, les NIH, la Commission européenne, le Wellcome Trust, le réseau Pasteur, etc.
Les activités de recherche et les programmes de formation de l'IPT sont étroitement intégrés et coordonnés. Actuellement, plus de 120 étudiants en cycle supérieur (master, doctorat) et post-doctorat de différentes universités en Tunisie sont formés à l'IPT, offrant une occasion unique d'échanges scientifiques, de valorisation des compétences et de développement des compétences en biotechnologie.
Depuis 2015, l'IPT a été désigné par l'OMS-TDR comme Centre de formation régional pour la région méditerranéenne orientale. À cet égard, de nombreux cours internationaux ont été organisés portant sur la mise en œuvre de la recherche, les bonnes pratiques de recherche en santé (GHRP) et les bonnes pratiques de laboratoire clinique (GCP-GCLP).

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Le Pr Peter Hotez accompagné du Dr Bruce Ruscio, du département d'Etat américain, ont rencontré les scientifiques de l'Institut Pasteur de Tunis le lundi 14 septembre 2015.
Cette rencontre pour discuter des possibilités concrètes de collaborations scientifiques sur la recherche dans le domaine des maladies négligées et notamment le développement de vaccins. Les chercheurs de l'IPT ont présenté leurs avancées dans le domaine de développement de vaccins, sur la rage, les leishmanioses et la tuberculose.
Le développement de l'activité de production de vaccins et de sérums de l'IPT a été également abordée, lors de la visite de l'unité de production.
Dans l'après-midi, le Pr Peter Hotez a donné une conférence dans le grand amphithéâtre intitulée
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Depuis 1981, le laboratoire de Contrôle des Eaux et Denrées Alimentaires participe, en qualité de Centre National Collaborateur, au programme PNUE/OMS de surveillance continue et de recherche sur la pollution microbiologique de la mer Méditerranée « MED POL ». Cette activité est conduite en collaboration avec les services d’hygiène de Tunis, Ben Arous et Ariana, la Direction de l’Hygiène du milieu et de protection de l’environnement (DHMPE) du Ministère de la Santé Publique et de l’Agence Nationale de protection de l’Environnement, coordinateur national du programme « MED POL ». La contribution du laboratoire à l’IPT consiste à la surveillance microbiologique régulière des eaux littorales du Golfe de Tunis (eaux de baignade et eaux de conchyliculture), à des études ponctuelles sur le reste du littoral tunisien et à la formation des opérateurs. Environ 102 stations de prélèvement, couvrant tout le littoral du Golfe de Tunis, permettent un échantillonnage représentatif des eaux littorales du golfe avec environ 1200 échantillons analysés par an. En ce qui concerne les activités de formation, outre les stagiaires qui sont régulièrement acceptés au laboratoire, trois cours internationaux théoriques et pratiques ont été organisés en 19984, 1989 et 1993. Chaque cours a permis de former environ 25 opérateurs représentant différents pays méditerranéens.